Thursday, July 3, 2008

Wanted


Wanted est le premier film hollywoodien de Timur Bekmambetov. Le réalisateur russe à qui l'on doit NightWatch et Daywatch, deux énormes succès au pays de la vodka a tout pour réussir dans le pays de l'Oncle Sam. Il peut donner à ses films un look ultra léché comme peu peuve se vanter de faire à Hollywood à part bien sur Michael Bay. Bekmambetov donne un look, un genre une importance Bay-esque à ses films avec avec pratiquement 25 fois moins de budget que l'ami Michael. Daywatch a un budget de 4, 2 millions de dollars pour un film d'action assez inventif, un peu n'importe quoi d'une durée de 146 minutes contre Bad Boys 2 par exemple, d'une durée de 147 minutes qui a coûté à ses producteurs 130 millions de dollars.
Donc Bekmambetov peut faire un film aux scènes d'action inventives pour moins cher que Hollywood, il est donc normal qu'on l'ai approché en lui donnant 50 millions de dollars pour tourner son premier blockbuster américain mettant ainsi un hiatus sur sa trilogie des Nightwatch.

Wanted est l'adaptation d'un comic book violent de Mark Millar et J.G. jones. Le film est un semblant de croisement entre The Matrix et Fight Club. Le protagoniste est un col blanc joué de façon sympathique mais un peu niais par James McCavoy. Une voix hors champs initule nous explique tout ce qu'on voit et tout ce qu'on avait déjà compris. Le côté un peu comico-bédéesque agace au début mais comme il disparait après 20 minutes...Les clichés se suivent mais on garde tout de même un sourire en coin jusqu'à ce qu'on s'aperçoive que tout ça est vraiment malsain et que le protagoniste désire sortir de sa vie de merde en devenant un tueur et tuer l'assassin d'un père qu'il n'a jamais connu. Le héro est donc un personnage ultra égoïste et égocentrique qui devient un assassin hors pair après son entrainement intensif de 5 semaines....

Le tout est bien mené et a un rythme rapide. Les scènes d'actions sont jouissives et c'est ce qui nous permet d'être tenu en halaine puisqu'elles nous emportent dans un autre monde, quelque chose de quasi science-fictionesque. La fusillade final est excitante et Michael Davis aurait eu besoin d'être autant inspiré lorsqu'il nous a pondu son brûle-rétines, Shoot 'em up. Par contre tout, le reste l'histoire et les acteurs sont une suite de clichés énervant et un peu mal orchestré. Morgan Freeman est d'un ridicule navrant lorsqu'en voulant choquer l'auditoire avec son "Motherfucker" risible il ne fait que perdre sa crédibilité, déjà qu'après Lucky Number Slevin et The Big Bounce il ne lui en reste que peu. Angelina Jolie est complètement sexy et mystérieuse, elle rampe dans ce film tel une chatte et elle dégage un odeur de sexe de tout les pores de sa peau.

2 comments:

ad said...

A very astute summary of this film.
But the question remains, where is Fardoche in all of this? How come we never hear about Fardoche?

cinoche, teloche ou Fardoche said...

Fardoche haunts every movies, every books, every musical CD that can be found on this page. He is a very sneaky individual and he has the ability to dislike almost everything. If a movie was made about is fully loaded and exciting life i think someone like Tony Leung could play him, or someone like Arsenio Hall, or Peter Ustinov, or Dick Miler, or Wing Hauser or even Kathy Bates