Sunday, August 3, 2008

The Mummy : Tomb of The Dragon Emperor


The Mummy et The Mummy Returns sont de très mauvais films qui ont surprenement été adoré par des milliers de gens. Le but, pour Stephen Sommers, était de ressortir des boulamites le bon vieux personnage de la momie qui avait fait les grands jours des studios Universal dans les années 1930. Sommers avait même été jusqu'à croire qu'il était invinsible après les peformances grandioses au box-office des deux premiers volets en rassemblant les autres personnages de l'horreur des studios : Frankenstein, Dracula et le loup-garou en un seul film : Van Helsing. Film ayant fait ses frais mes ayant été descendu par les critiques de partout dans le monde. Sommers a donc pris un temps de repos où il nous concocte G.I. Joe, the movie.

On décide donc de faire une suite plus de 6 années plus tard avec, cette fois, aux commandes, Rob Cohen, monsieur Ego. Depuis qu'il est passé de producteurs à réalisateur, Cohen croit qu'il a réinventé le thriller (The Skulls) mais surtout le film d'action ( XxX, The Fast and The Furious). J'imagine qu'il va jusqu'à croire qu'il a crée la carrière de Vin Diesel. Sans blague chaque fois que Cohen sort un film, il en parle comme s'il venait de révolutionner le 7e Art. Il nous fait croire que ça a été tout un défi de mettre en scène un avion avec des sentiment dans Stealth, Are you fucking kidding, Rob? Non seulement tout les films mentionné ci-haut sont surement les pires fait dans les 10 dernières années mais en plus The Mummy 3 ne leur arrive pas à la cheville en terme de nullité. C'est dire si Cohen est un génie qui se réinvente à chaque navet.

Il est extrêment dur de trouver des qualité au dernier volet de la trilogie. Les scènes 'action sont correctements menés et les effets spéciaux sont réussi même si tout est fait en CGI. Cohen met en scène un vieux fantasme en tournant des scènes d'action avec Jet Li, Michelle Yeoh et même Anthony Wong. Cohen rend donc hommage aux films de hong Kong à qui il voue un culte. On peut deviner l'amour du réalisateur pour le cinéma de genre asiatique puisqu'il avait réalisé la biographie de Bruce Lee Dragon, The Story of Bruce Lee, peut-être seul film dans la fimographie du réalisateur de Daylight qui puisse avoir un semblant d'intérêt. Jet Li joue ici encore une fois le vilain et comme il a déclaré qu'il prenait sa retraite il y a 3 ans, il doit ajouter un autre navet à sa filmographie qui ne finit plus de finir malgré ses menaces de retraite.. Michelle Yeoh fait se qu'elle peut avec les dialogues embarassant qu'on lui fait dire, Wong se débrouille, Maria Bello en remplacement de Rachel Weisz, est laissé à elle même et cabotine jouant un rôle très naïf au côté d'un Brendan Fraser égal à lui-même qui semble prendre un malin plaisir à sous-tiré le plus de ironie de ses dialogues cabotins. ajoutez un John Hannah cabotinant et Luke Ford, un des pires acteurs que j'ai pu voir depuis Sébastien Huberdeau dans L'Ile de Sable et vous avez la recette gagnante pour un film où les acteurs ainsi que leur performances ne font que remplir le film entre deux scènes d'actions pas très excitante de toute façon.

L'histoire est un prétexte et il n'y a pas de mal à cela mais lorsquelle est remplie de clichés débilisants, de one-liner ratés, de dialogues soit descriptifs, soit embarassants, soit raccourcissants l'histoire à sa plus simple expression, on a non seulement l'impression que l'on se fout du spectateur mais celui-ci finit par avoir la certitude que le scénario fut écrit par des élèves de maternelle B. cohen essai de faire revire les films d'aventure de l'époque laissant joué les acteurs comme s'ils étaient dans un film de Capra en donnant une naiveté et un charme que le film n'a jamais et qui finit par faire cucul et immature. Cohen essaie également de profiter du succès du dernier Indiana Jones mais failli lamentablement à la tâche.