Come and See : J’aimerais remercier Simone Pansera(un de mes 4 valeureux lecteurs) pour la découverte de cet ultime chef-d’œuvre d’anti-guerre du cinéaste russse Elem Klimov. Come And See est d’une puissance incroyable. Comment montrer l’horreur de la guerre sans jamais y montrer une scène de bataille. Le film est remplie de scènes majestueuses en plan séquence. D’une beauté poétique tout en douleur sans jamais être voyeuriste ou graphique. Même si le film n’est pas une partie de plaisir la plupart des scènes resteront gravées dans ma mémoire très longtemps. Un très, très, très grand Film!
Legend Of The Fist : Donnie Yen a le vent dans les voiles depuis quelques années. Après Ip Man 1, 2 et 3, Yen personniefie encore une fois une légende des arts martiaux chinois, Chen Zen. Le tout commence dans les tranchées en France où Yen/Zen se bat tel un pirate de façon spectaculaire mais un peu cartoonesque. Le reste du film est très moyen, un peu comme une mauvaise copie d’un film de gangsters des années 1930. Yen porte un masque à la Kato peut-être pour rivaliser avec le retour du Green Hornet sur les écrans et une moustache à la John Waters, peut-être pour rivaliser avec John Waters. L’histoire devient de plus en plus abracadabrante et stupide au fur et à mesure que le film avance à coup de baguarres bien chorégraphiés. Au final, Legend Of The Fist est une grosse déception sur à peu près tout les point de vue.
Shaolin : Shaolin réuni Andy Lau et Jackie Chan peut-être pour la première fois (je n’ai pas fait de recherche, j’en fais jamais, j’aime parler à travers mon chapeau, ça prouve que j’ai des failles et que je suis humain). Mais au-delà de cette rencontre (environ 36 secondes à l’écran), il n’y a rien à déclarer sur Shaolin. Ou peut-être que….non, rien à déclarer.
Captain America 2 : La suite de Captain America. La version télé de 1979. Difficile de faire un film de super héro avec un budget risible (probablement l’équivalent du budget des boissons gazeuses sur le plateau du Captain America de Joe Johnston). Captain America 2 est rempli de moments hilarants à commencer par le costume. Captain America porte un casque par dessus son masque et son « jump suit » rembourré doit lui donner des chaleurs. Mais comme il est un super héro on va lui pardonner les invraisemblances du récit comme par exemple lorsqu’il est coincé dans une usine (longue histoire (en fait pas si longue que ça))il utilise sa force brute pour lancer, oui, oui, lancer, sa moto à bout de bras sur une passerelle qui non seulement attérie sur les deux roues, mais lorsqu’il saute de 2 étages pour aller rejoindre sa moto préférée (en fait il s’agit d’un effet où l’image est renversée, donc il ne saute pas si haut, il saute plutôt en bas), il attéri sur sa moto. Captain America est le genre de gars qui une fois qu’il s‘élance, avec sa moto toujours, hors de ladite usine, en ville, il se retrouve à voler dans les airs (longue histoire (en fait pas tant que ça)) en pleine campagne genre dans les rocheuses, à 3000 pieds d’altitude, il peut repérer l’ennemi (ici Christopher Lee) et attérir sur ses roues. Pas mal pour un gars qui semble avoir de la difficulté à courir et qui semble essouflé après chaques baguarres. Il faut le voir glisser sur une rampe d’escalier pour aller plus vite comme s’il s’agissait d’une cascade à couper le souffle.
Astro Zombies : Astro-Zombies est d’une incohérence totale. Il y a environ 4 films dans ce film. Une qui inclus un méchant scientifique qui crée les Astro-zombies du titre, sorte de malfrats portant un masque ultra cool qui s’attaquent à des femmes. Il y a aussi l’histoire de méchants qui veulent voler la recette pour construire des astro zombies, question d’en faire des armes destructrices, il y a aussi l‘histoire d’agents secrets qui doivent arrêter tout ce merdier.
Les Aventures extraordinaires d’Adèle Blanc-Sec : Luc Besson (AKA le dude-qui-se-bleache-encore-les-cheveux) est de retour devant la caméra après une retraite précoce. Il réalise maintenant des films pour les « tout p’tits » (Les Minimoys 1,2,3,4,5,6, et 12) et des film pour les moins-petits-mais-quand-même(Adèle Blanc-Sec). Le film ne ressemble en rien à du Besson. Il est tout simplement un gros blockbuster français anonyme mis en scène avec beaucoup d’argent. Adaptant la bande-déssiné ou plusieurs tellement le film est remplie de sous-intrigues, Besson donne un ton bédéesque et un humour tout aussi amusant et bédéesque. Dommage que le film se perde dans une histoire inintéressante. Le tout est amusant mais le genre de film aussitôt vu, aussitôt oublié.
Mesrine : Après avoir visionné le diptyque de Richet et deux documentaires assez différents sur Jacques Mesrine, me voilà entrain de visionner la version de 1984 de la vie de l’ennemi public numéro 1. Jamais un film n’aura été aussi épisodique (à part peut-être Ma Vie en cinémascope). Mesrine est une suite de scènes qui représentent les actes connus, commis par Mesrine sans aucun lien entre elles, sans jamais approfondir quoique ce soit. Une scène après l’autre d’action mal foutu, et mal mise en scène qui culmine vers sa mort. La scène au Québec est particulièrement pénible où les voitures de police sont de vieilles voitures où l’on a collé une énorme fleur de lys sur la porte. Les policiers québécois parlent tous avec un accent parisien. Il y a aussi une scène où Mesrine raconte que tout est sous contrôle en Italie, on a alors droit à une scène d’explosion et une scène de tuerie qui n’ont rien à voir avec le reste du film. Comme si les producteurs s’étaient dit en se grattant les moustaches : « Mmmm, ce film manque d’explosions! Que faire? »
Six-Pack : Six-Pack est une tentative de film de tueur en série à l’américaine fait par les français. Un genre de Les Rivières pourpres, tout aussi con mais sans la performance caricaturale de Cassel, la scène de bagarre Playstation-style et un punch final cucul. Six-Pack se la joue thriller politique alors que les enjeux sont stupides tout en mêlant un peu de Silence Of The Lambs à son intrigue. La mise en scène prétentieuse n’est pas à blâmer, elle est la seule à croire que tout ce merdier est intéressant. Frédéric Diefenthal nous prouve toute l’étendue extrêmement limité de son talent de pseudo-acteur et le personnage joué par Richard Anconina est cliché au point d’être détestable. L’histoire ne tient jamais la route pas plus que les actions et gestes des personnages (on utilise en secret, une femme comme appât pour attirer le tueur et on oublie de la suivre adéquatement!!). Le suspense est donc artificiel comme une peinture à numéro.
Dagon : De mémoire, je ne crois pas que Stuart Gordon ai fait un mauvais film. Ayant toujours œuvré dans le genre horreur/Sci-Fi/HP Lovecraft avec des budgets risibles, Gordon à toujours tiré son épingle du jeu mêlant humour et violence. Metteur en scène de théâtre et dramaturge avant tout (comme Neil Labute), la force de Gordon est dans sa direction d’acteur, sa direction artistique et son utilisation efficace de la caméra créant un ambiance et un ton qui sied à merveille à l’univers du film. Dagon est un film d’horreur éfficace utilisant le gore de façon tout aussi éfficace. Les acteurs inconnus s’en sorte bien tandis que tout les personnages louches donne la pétoche.
Hellraiser 6 : Hellseeker : Je n’étais pas sûr si j’avais déjà vu, d’autant plus qu’à ma grande surprise, la série en est rendu au numéro 9(!!??!!). Donc Hellraiser 6 continue un peu où le numéro 5 s’était aventuré, c’est à dire le plus loin possible de l’œuvre de Barker (Hellraiser 1 et 2), du gore-fest insipide de Hellraiser 3 et du Hellraiser dans l’espace(probablement pour rivaliser avec le Leprechaun In Space) de Hellraiser 4, réalisé par Alan Smithe (ici, Kevin Yagher, qui détruira sa carrière comme metteur en scène autant que maître des effets spéciaux). La série Hellraiser a toujours été mal vendu de toute façon, essayant de miser sur la performance de Pinhead et ses Cenobites alors que le film était beaucoup plus profond que du S&M gore. Petit à petit, ils ont ajouté plus de temps d’écran à Pinhead tout en essayant d’approffondir les thèmes (pas vraiment) et le gore (refaisant la même scène over and over again) en pensant rester dans le « ton » de la série alors qu’elle (la série) devient de plus en plus policière plutôt qu’horreur. Hellraiser 6 est donc un film policier bidon qui à le culot de réutiliser le personnage de Kristy de façon inutile en plus de ne jamais montrer Pinhead ou la betite boite dorée avant les 70 premières minutes..
Bomb It : Parfait compagnon pour Exit Throught The Gift Shop, ce documentaire sur les graffitis et ceux qui les font est remplie d’attitude et de gens qui croient avoir plus d’importance qu’ils en ont. Intéressant puisque le film se promène d’un continent à l’autre nous permettant de voir la différence entre les graffitis du Brésil et ceux du Japon. Par contre, la plupart des gens qui interviennent ont tous un égo démesuré, des noms difficiles à lire à l’écran et difficilement mémorisables et leur travail laisse souvent à désirer (à mes yeux). Tout le monde semble avoir un opinion sur les graffitis mais très peu sont valables (à mes yeux). Peut-être parce que les intervenants/artistes ont très peu à dire mis à part qu’ils sont différents des autres et meilleurs et bla, bla, bla… C’est un peu comme si on faisait un documentaire sur la poutine, tout les intervenants se vanteraient de faire la meilleure et d’en être l’inventeur. Reste que tout ça demeure pertinant même si tout va un peu vite et que tout est en surface, sans profondeur.
Terror At BloodFart Lake : Film amateur ne se prenant pas au sérieux et remplie de dialogues référentio-culturels, Terror At BloodFart Lake renferme ce que tout films amateur se doient d’avoir : des acteurs assez mauvais jouant des caricatures de personnages, des éclairages approximatifs, une qualité d’image digne d’un vidéo de marriage de 1992, un mixage sonore inexistant, beaucoup de mauvais goût, etc… Dans le genre FUBAR, Terror At BloodFart Lake est très drôle. Dommage qu’il ne se soit pas tous prient un peu plus au sérieux.
Nightmares in Red, White and Blue : Documentaire sur l’évolution du film d’horreur américain à travers le temps, Nightmares in Red, White and Blue n’apporte strictement rien de nouveau pour quiconque s’y connaissant moindrement en films d’horreur. Probabalement dû au fait que le film traite de l’histoire du cinéma d’horreur qu’en montrant les classiques mondialements connus, ne nous apprenant rien, et faisant un parallèle pas toujours juste ou un peu facile, avec la politique de chaque époque. Un projet plutôt ambitieux étant donné la courte durée du film (90 minutes). Le gros point fort est que Nightmares in Red, White and Blue réuni des interventions de John Carpenter, Georges Romero, Tony Timpone, Larry Cohen Joe Dante, Roger Corman, le toujours trop gentil Mick Garris et l’inutile Darren Lynn Bousman.
Green Slime : Comme son titre l’indique Green Slime raconte l’histoire d’un liquide visqueux vert. Mais ce que sont titre ne dit pas, c’est que Green Slime est rempli de monstres en caoutchouc avec des tentacules et des maquettes de fusées. Le film est tout de même divertissant malgré le côté cheap, grâce entre autre à une mise en scène et des mouvements de caméra énergiques. Une telle énergie est surprenante pour un film de cette envergure, surtout dans les années 1960.
Double Dragon : Je fais partie des 5 chanceux qui ont vu Double Dragon à sa sortie au cinéma. Dans la lignée de Surf Ninjas et Super Mario Bros (2 autres films dont j’ai la chance d’être l’un des 5 chanceux…), Double Dragon est probablement le pire film jamais fait basé sur un jeu vidéo. Peut-être même le pire film des années 1990. Peut-être même de l’histoire du cinématographe. Réalisé par un quelqu’un qui a fait beaucoup de vidéoclips, Double Dragon semble être le projet chéri de ce clippeur. Le genre de projet qui apporte une bonne réputation au CV et qui donne la chance de travailler par la suite sur des projets de plus grandes envergures du genre U-571, Terminal Velocity, Drop Zone, (3 autres films dont j’ai la chance d’être l’un des 5 chanceux…), etc… Et bien non! Pour la petite histoire, Double Dragon fut un bide monumental. Il tua la carrière du réalisateur anonyme qui croyait qu’en adaptant le jeu vidéo le plus facilement adaptable de tous (2 frères qui se battent contre des punks), en soignant sa direction artitisque (des décors fait de planches de bois pour donner un look apocalyptico-futuristo-mad-max-esque, avec plein de grafitis) et en enfillant des cascades et des poursuites de bateaux inutiles et peu spectaculaires, allaient lui ouvrir les portes des grands Studio. Et qui sait peut-être pensa-t-il faire une franchise et s’octroyer la réalisation de Double Dragon 2(le jeu met en scène les 2 mêmes frères qui se battent contre d’autres punks). Il faut dire qu’il ne s’est pas aidé en adaptant un scénario stupide où 5 scénaristes ont cru bon inventer une histoire de collier magique. Alyssa Milano se la joue punkette sexy alors qu’on ne croit jamais que Marc Dacascos et Scott Wolfe sont des frères. D’autant plus que Scott Wolfe doit mesurer 3 pieds de moins que Dacascos qui sans jamais avoir été un grand acteur, n’a jamais été aussi mauvais que dans ce film. Une performance embarassante de Robert Patrick (c’est le costume et les cheveux…), des effets spéciaux dignent d’une publicité de télévision locale et de l’humour bon enfant du genre pour-les-zenfants-de-4-ans-qui-aiment-Scooby-Doo ne rendent pas justice au jeu vidéo et au 7e Art.
The Acid Eaters : The Acid Eaters est une excuse pour voir des filles assez ordinaires se dévêtir et se frotter sur des gros hommes poilus. Ils dansent et c’est psychédélique. Sans blague il y a une scène qui doit durer 30 minutes où des gens se baignent pour ensuite aller danser sur un quai.
Soldier Blue : À ne pas confondre avec Soldiers Of Orange ou The Big Red One ou même la triologie Bleu-Blanc-Rouge de Kiewslowski. Soldier Blue n’arrive pas à la cheville de ces classiques (et chefs-d’œuvres pour Bleu-Blanc-Rouge) mais il n’est pas un mauvais film. Il n’est pas terrible du tout. Il est bien même. Une histoire de Soldats et d’indiens assez violente. Un soldat naif découvre après que son ploton fut assassiné par des indiens que les indiens ont raisons d’agir de la sorte. Ils ne l’ont pas facile.
Ivan’s Childhood : J’ai lu beaucoup de livres sur Tarkovsky (3 livres, pas tant que ça) mais je n’ai jamais vu de ses films (je suis un garçon remplie de contradictions). Je me suis dit la meilleure façon de voir un film de Tarkovsky est de… voir un film de Tarkovsky. J’ai donc commencé par Ivan’s Childhood. Le film se rapproche un peu du Night Of The Hunter de Charles Laughton pour le côté onirique. Mais ici, la mise en scène est d’une incroyable fluidité, les décors sont impressionnants et l’utilisation du noir et blanc est sublime. Tout est bien maîtrisé. Le film n’a rien perdu de sa force même 50 années plus tard.
La Mentale : La Mentale est exactement le genre de film que je trouve insipide et stupide. Il est exactement ce que j’imagine Samy Naceri doit adorer. Le genre de film de gangsters et de gangs de rue qui croit faire l’apologie de la violence dans les rues de Paris tout en faisant la morale et se complaisant dans les scènes de violences qu’il met en scène. Je suis surpris qu’il n’y ait pas d’affiche de Scarface dans l’appartement d’un des personnages. En voulant penser croire qu’il fait un constat sur la pègre et les petits dealers de rue, et la survie de ceux-ci dans les quartiers chauds de la ville, le film ne devient qu’un ramassit de thèmes clichés (loyauté, honneur, amitié) mal foutu dans un melting pot où sa seule raison d’être est de donner un rôle important à Samy Naceri qui en profite pour se la jouer Tony Montana en en faisant des tonnes tout en étant incroyablement antipathique. Ce qui fait qu’on ne comprend jamais ce qui lie Nacéry à Samuel LeBihan qui sont supposé être amis alors que tout les séparent. Un peu plus et il y avait une scène où Nacéry, se regardant dans le miroir et se parlant à lui-même : Are you talking to me?
Lady Blood : Lady Blood est la suite de Baby Blood (plus de 15 années séparent les deux)mais les deux films n’ont rien à voir l’un avec l’autre outre le fait que Emmanuelle Escourrou qui a écrit ici le scénario, joue, dans les deux films, deux personnages différents. Imaginez mon incompréhension lorsque le protagoniste recherche la jeune fille (celle de Baby Blood) qui est portée disparue depuis plusieurs années pour résoudre une série de meurtres, alors qu’en fait elle est sa partenaire de travail (dumoins il s’agit de la même actrice, elle a maigri mais quand même, un écart comme ça entre les dents ne peut porter à confusion). En fait, je crois qu’il s’agit du même personnage mais qui a oublié ce qui lui est arrivé dans le passé. C’est logique, si j’avais été violé et que j’avais enfanté un espèce de monstre en plus d’avoir tuer et séduit plusieurs homme sur mon passage, il est bien évident que mon premier réflexe serait d’avoir tout oublier et de devenir policier. Le film enfille donc des meurtres sanglants et une histoire incompréhensible, il faut dire que Baby Blood est un classique de l’histoire incompréhensible.
The Astounding She Monster : The Astounding She Monster a une histoire abracadabrante mêlant invasion extra-terrestre et attaque d’une femme-monstre astounding-ssante. La femme monstre apparait toujours un peu flou à l’écran, résultat d’effets spéciaux bas de gamme qui ne fonctionne pas lorsqu’il y a plus d’un personnage dans le même plan. On y parle beaucoup et les fusils sont bizarres, sorte de lampe de poche qui font des ravages qu’on ne voit jamais. La finale se déroule sur un vaisseau spatial où les humains prouvent qu’ils sont plus brillants et rusés que les extra-terrestres qui en pensent autrement. On ne comprend jamais la haine des extra-terrestres envers les humains qu’ils trouvent, évidement, technologiquement arrièrés alors qu’ils ont eux-même forme humaine.
Robot Monster : Le Robot Monster est en fait un homme dans un costume de gorille avec un casque de scaphandrier alors il est plus gorille que robot. Le titre du film est une mauvaise représentation de toute l’anticipation que j’avais de ce simili-classique. Ayant été filmé dans 2 décors en probablement un weekend (peut-être moins), le repère du monstre est le highlight du film. Une espèce de caverne d’où sorte des bulles pour une raison jamais expliquée. On peut aussi y voir un amalgame de radios collées l’une sur l’autre pour donner ce qui, j’imagine, est un ultime ordinateur. Une scène qui restera marqué sur ma rétine fort longtemps est le mariage entre les deux protagonistes en pleine montagne aride où l’homme est torse nu. Un mariage torse nu, n’est-ce pas le rêve de tout homme qui se respecte et qui respecte sa future femme? Jamais 60 minutes n’auront paru aussi longue.
No comments:
Post a Comment