Texas Chainsaw 3D : The Texas Chaisaw Massacre est un
classique du genre mais il semblerait que tout les gens qui le considèrent
comme tel ne comprennent pas pourquoi il est un classique puisque chaque remake, sequel, reboot, prequel,
proutquel, mardequel ne prennent aucunement en considération tout ce qui fait
du film de Tobe Hooper une réussite. Le remake de Marcus Nispel était plus beau
que bon mais il avait au moins le mérite d’y améliorer son 2e degré
(quelque chose à propos du végétarisme) sans rendre le tout complètement con.
Depuis, on cherche à tout prix à faire de Leatherface le principal
protagoniste, un croque-mitaine moderne. On l’humanise tout à fait gratuitement
pour expliquer un tant soit peu le pourquoi du comment de sa méchanceté alors qu’à
la base il n’est qu’un personnage parmis tant d’autres d’une famille tous plus
cimglés les uns que les autres. Il faudrait qu’on comprenne que Leatherface
n’est pas tant important dans l’histoire alors il est inutile de l’humaniser
MAIS SURTOUT de nous le rendre sympathique comme dans cette merde filmé en 3D.
Il y a quelque chose de complètement foireux dans ce film où on essaie d’en
faire une suite à la minute près du film de Tobe Hooper. Donc, 1)le remake 2)sa
suite/prequel 3)la suite du film de Tobe Hooper ainsi que 4)Texas Chainsaw
Massacre 3 (aka Leatherface) et 4)la version avec Renee Zelweger/Matthew
McConaughey n’ont jamais existé. On repart à zéro. Du moins
dans les 12 premières minutes du film. On nous montre avec images du film de Hooper à
l’appuis, les minutes qui suivent le film de 1973 (en fait le film de Hooper date de 1974 mais les scénaristes de ce film semble avoir un problème de continuité tout au long du film) en nous montrant… des
personnages qu’on ne connaît pas joué par des acteurs qui ne nous disent rien.
Puis après un fondu au noir où l’on peut voir apparaite « some decades
later », on comprend que le reste du film se situe entre 2010 et 2014, ce
n’est pas clair mais si on se fit aux voitures c’est clairement le 21e
siècle, donc 35-40 ans plus tard. On se retrouve donc avec 2 problèmes, la
principale protagoniste devrait, en principe avoir entre 40 et 45 ans alors
qu’avec son chandail nombril et sa poitrine proéminante ne doit avoir pas plus
de 25 ans. Le 2e problème c’est que sans trop savoir l’âge de
Leatherface en 1973, il doit avoir au moins 60 ans dans ce film. Un peu trop
vieux pour 1)courir dans les bois 2)en faisant tournoyer une scie à chaine d’au
moins 35 livres dans les airs et 3)avoir encore la force de prendre des jeunes
hommes pour les soulever et les empaller sur un crochet suspendu. Le film
semble nous dire également que Leatherface, seul survivant d’une soi-disant
fusillade entre sa famille et la police locale, est resté caché dans le
sous-sol de sa maison pendant 35-40 ans sans qu'on ne sache trop ce qu’il a bien pu
manger toute ces années pour 1)être toujours aussi fort 2)courir aussi vite et
3) sans que la police locale ne l’ai jamais vu dans les rues de la ville ou à
l’épicerie depuis 1973. Pour un gars qui n’a pas du voir le soleil depuis fort
longtemps, il ne semble avoir aucune difficulté avec la lumière lorsqu’il finit
par sortir de la maison. Parfois 4 scénaristes ce n’est pas assez.
The Tourist : Anthony Zimmer n’a
jamais été mon film préféré. Une réalisation solide pour un scénario médiocre
avec une finale abracadabrante qui ne fonctionne pas. Succès oblige on en fait
donc un remake. The Tourist. Le film où Angelina Jolie est laide et où Johnny
Depp semble obèse du visage. On a beau leur donner des vêtements griffés hyper
dispendieux et les mettre en scène dans des décors chics et majestueux dans des
villes exotiques, on les filme avec des éclairages de mardes qui nous laisse
paraître toutes leur rides ainsi que les 8 pouces de maquillages dans le
visage. Visuellement The Tourist est beau mais le scénario qu’on croit avoir
modifié, bétonifié devient encore plus abracadabrant avec cette finale qui
semble encore plus sortie de nul part que dans Anthony Zimmer. Au delà de la
pseudo-complexité du scénario et du fait qu’encore une fois Paul Bettany perd
son temps dans une production de marde, The Tourist réussie à nous offrir la
pire gaffe qu’un film ne peut se permettre : nous emmerder solide pendant
2 heures.
Much Ado About Nothing : Exactement!
Quarantine : Quarantine est un remake
du film espagnol [REC] et il a la particularité d’avoir été produit, filmé,
monté et distribué avant même que [REC] ne prenne l’affiche dans les salles
nord américaines. [REC] est donc pour certain, un remake espagnol de Quarantine.
Quarantine n’est pas tant un mauvais film ou un mauvais remake puisque de toute
façon il est une copie scène par scène de l’original mais même si on ne le
compare pas ou même si l’on n’a pas vu le film de Paco Plaza et Jaume Bagalaro,
la version américaine demeure inférieure. Ce n’est jamais l‘idée du siècle
d’utiliser des acteurs pseudo-connus pour jouer dans un film qui se veut
réalistico-documentaro-found-footage. On s’entend que Blair Witch Project
n’aurait pas eu le même succès si Christian Slater et Martin Short avait joué
dedans. Quarantine fait donc l’erreur d’utiliser de bons acteurs mais dont on a
déjà vu la face un jour ou l’autre dans quelque chose détruisant par le fait
même le côté documentaire. Un autre truc que Quarantine détruit est cet
ambiance glauque où tout peut arriver à n’importe quel moment, cet espèce
d’urgence dans la réalisation ainsi que dans les réactions des protagonistes.
Quarantine ne se contente que de mettre en scène chaque scènes de [REC] de
façon évidemment plagiée. On a donc un effet beaucoup plus mécanique et
artificiel. C’est que [REC] qu’on aime ou non, était une expérience
cinématographique. Les 2 réalisateurs ont tourné dans un vrai immeuble
désafecté en ne divulgant peu ou
pas à leurs acteurs la suite des choses si bien qu’ils doivent improviser leurs
réactions tout en étant surpris de la tournure des événements. Quarantine se
contente de copier/coller le tout sans véritable vision et se permet de changer
la provenance du virus qui infecte les habitants de l’immeuble question de
1)rendre ça plus scientifico-crédible et 2)ne pas se mettre à dos les chrétiens
et autres religious freaks.
I Spit On Your Grave 2 : Suite du
remake d’un film mal aimé, I Spit 2 est écrit et réalisé par le même gars qui a
remaker le premier. Au-delà d’une grosse lacune scénaristique qui amène la
protagoniste de New York en Bulgarie alors qu’elle n’est pas consciente (ils
l’ont caché dans une valise? Ils ont sauté par dessus l’Atlantique en voiture?
Ils ont demandé à E.T. le vélo d’Elliott?), le film n’est pas différent de tout
ces films de viol/vengeance. On s’ennuie de MS.45 (pas vraiment). J’imagine que
la Bulgarie ou les pays de l’Europe de l’est doivent commencer à en avoir ras le ponpon que
leur pays servent de « Territoires remplie de pervers sadiques pédérastes
violeurs ». Je suis sûr qu’il y a des bulgares super gentils mais on ne
les voit pas dans des productions américaines.
Bait : Bait est un nouveau genre de
film : un huis-clos catastrophe avec des animaux méchants. C’est donc un
amalgame peu réussi entre un thriller, une comédie d’action, une romance et un
film catastrophe. Mais avec un requin. Et en 3D. Dans ce qui semble se passer
dans une ville australienne, tout les acteurs ont un accent différent un peu
tout croche mais aucunement australien. Suite à un attaque de requin, Tim (je
ne me souviens pas du nom du personnage alors appelon-le Tim), n’est plus le
même. Il a cesser d’aller à la plage et de faire du surf. Tout ça n’a
évidemment rien à voir avec le film. Il se retrouve donc dans une épicerie de
quartier où sa future/ex copine est prise en otage par deux voyous qui volent
l’épicerie (ça c’est la partie film d’action et romance) juste au moment où un
tsunami dévaste la ville pendant environ 13 secondes (petit budget oblige). Les
gens sont donc prisonnier de l’établissement (ça c’est la partie film
catastrophe et huis-clos). Ils ne peuvent donc sortir de l’épicerie puisque
1)un méchant requin blanc vient à passer par-là et Tim ne trippe pas sur ce
genre de requin (rappelez vous l’attaque de requin dans le passé de Tim) et
2)il se peut que si le niveau d’eau monte jusqu’aux fils électriques, tout le
monde meurt (ça c’est pour la partie attaque d’animaux fous et thriller).
Évidemment quand un tsunami frappe une
ville une chose est sur c’est que l’électricité est toujours là, on peu
toujours se fier à elle. Surtout, et je le répète, quand un tsunami frappe une
ville et qu’il détruit tout sur son passage, surtout les poteaux électriques.
On a droit à une scène de comédie où un couple est prisonnier de leur voiture
sous l’eau et comme tout bon couple cinématographique qui se respecte, ils
s’enguelent pour des futilités dont notre patience est mise à rude épreuve (ça
c’est pour la partie comédie). On a aussi droit à ce fameux moment où les protagonistes
doivent, face à l’adversité, faire confiance aux 2 voyous pour venir à bout de
leur plan (couper l’électricité et tuer le requin). Tout ça dans un 3D qui nous
permet de voir des attaques de requins surnoises ainsi que des flaques de sang
en CGI.
Passion Play : Depuis Lost In
Translation tout le monde capote sur Bill Murray. Tout le monde voudrait être
son ami. Mais 98% des gens qui aiment Bill Murray n’ont vu que 2% des films
dans lequels il a joué. Ce qui fait que je ne comprends pas pourquoi les gens
l’aiment s’ils n’ont pas vu ce qu’il fait. Et par le fait même je ne comprends
pas ce qui fait que Bill Murray choisit un film, un projet plutôt qu’un autre.
Avec le temps c’est un peu comme s’il devenait de plus en plus difficile dans
ces choix alors que Johnny Depp devient de plus en plus aveugle en jouant dans
à peu près n’importe quoi. Ce qui me donne l’impression qu’en vieillissant,
Bill Murray est en train de devenir petit à petit un Johnny Depp. Ce que je ne
comprends encore moins est le lien entre Johnny Depp et Bill Murray. Mis à part
qu’ils ont tout deux joué à des moments différents dans un film de Jim Jarmush.
Je pourrais aussi dire que la fille de Bill Murray, une belle grande anglaise
pourrait être le genre de femme qui plait à Johnny Depp, lui qui les aime
grande, mince et élancée. Les 2
ont également un jours dans leur vie joué le rôle de Hunter Thompson dans deux
films complètements différents. En plus de joué dans Ed Wood ensemble. Pourquoi je radote toute ça? Parce que
je ne veux en aucun cas dire quoi que ce soit sur Passion Play.
A Field In England : Ben Wheatley
change complètement de style et nous offre dans un noir et blanc impéccable ce
champs en Angleterre où s’afronte des personnages à la recherche d’un
alchimiste qui leur fera découvrir des champignons magiques. A Field In England
m’a fait penser pour une raison que j’ignore, à Valhalla Rising de Nicolas
Winding Refn. C’est une expérience cinématographique enrichissante, originale
et hors norme.
Veronica Mars : Pour les fans de la
série, Veronica Mars est un rêve devenu réalité. Mais en réalité il s’agit d’un
épisode de 100 minutes. Pas meilleurs, pas pire que la série juste comme un
condensé d’une saison dans un format film. Parfois on ne demande pas plus que
ça.
Snowpiercer : Est-ce que toute cette attente en valait la peine? Oui et non! Dans sa première heure,
Snowpiercer est incroyable. La mise en scène, les décors, les acteurs, les
scènes d’action tout est complètement maitrisé et jouissif. Par la suite, le
tempo diminue un peu, des longueurs s’installent, des revirements fonctionnent
à moitié mais la finale garde tout de même ce quelque chose de grandiose.
Odd Thomas : Avec son budget de 27
millions de patates, Odd Thomas paraît en avoir coûté 8 fois moins. Il faut
féliciter Stephen Sommers pour le look très télévisuel au film. Jamais Sommers
ne nous à donner un film qui avait le look et l’ambiance de son budget. 27 millions c’est beaucoup pour un film
qui sort directement en DVD. On dirait un pilote pour une série télé. 27
millions c’est beaucoup pour un pilote. Bref, si Odd Thomas était un pilote
et/ou une série télé ça passerait bien mais comme film de cinéma, c’est un peu
court, jeunne homme comme disait Cyrano. Odd Thomas a pour public cible les
ados qui on trippé sur The Darkest Hour (les 7 personnes qui l'ont vu)ou les ados qui aiment les films innofencifs
où se mêlent humour adolescents, CGI pauvres, scènes d’actions molles parsemées ça et
là, une intrigue amusante tout ça avec une cinématographie déficiante et
seulement 3 décors. Odd Thomas c’est un peu une version ado cheap de Dylan Dog (la
version de 2009) ou une version moins cool et moins amusante que John Dies At
The End. Je suis surpris qu'on donne encore de l'argent à Stephen Sommers.
The Bag Man : The Bag Man est un très
mauvais film noir. John Cusack doit se rendre dans un motel miteux avec un sac
et attendre l’arrivée de Robert De Niro. Il ne doit en aucun cas regarder à
l’intérieur du sac. Évidemment le motel est peuplé de personnages ultra louches
et ce même si le-dit motel est supposé être vide, dans un village abandonné.
Après 30 minutes tout les personnages miteux se font tuer ce qui nous laisse
environ 60 minutes à attendre ce qui peut bien se passer de plus. Pas grand
chose. On essaie d’être cool à la Tarantino mais dans un enrobage très
lynchéen. Crispin Glover joue un petit rôle et quand Glover joue dans un film
on peut presqu’à coup sûr savoir que ce ne sera pas très bon. Ce n’est pas
qu’il soit médiocre mais il semble y avoir un mauvais sort sur la tête de
Georges McFly. Ou bien il ne choisit que les scénarios les plus insipides qu’il
lit. Toujours est-il que l’histoire n’a aucun sens et que la finale n’en a encore
moins. On a droit par la suite à un autre revirrement surprise à la fin qui fait encore
moins de sens mais dont la mise en image est tout simplement ridiculement
conne. J’imagine que les 3 scénaristes ne se sont pas trop entendu sur la
tournure des évènements et qu’à force de réécrire le scénario ils ont oublié
des détails parce qu’à quelques moments la voix de De Niro est doublé par
quelqu’un d’autre lorsqu’il est hors champs. Il donne des explications et il
est très évident que ce n’est pas la même voix. Mais bon, comme le récit est
tout simplement stupide à quoi bon vouloir corrigé les erreurs en
post-production alors qu’on aurait pu éviter tout ça pendant la scénarisation.
Miraculum : Miraculum est, si je ne
m’abuse, le premier film choral québécois. Bravo Podz! Mais ça ne fait pas du
film quelque chose de bon pour autant. En fait, la grosse faiblesse du film
réside surtout dans le scénario qui ressemble à un genre de peinture à numéro, un
ABC du parfait film choral. Comme si Gabriel Sabourin avait lu un livre de scénarisation
juste avant de pondre le scénario. C’est le genre de film qui croit vouloir
dire quelque chose alors qu’il ne dit rien. Un film pseudo-profond avec une
morale de pacotille. Un scénario qui croit raconter quelque chose d’universel
en se concentrant sur les détails plutôt que sur l’ensemble. Chaque histoire du
film raconte les déboires de personnages dont on se contrecrisse puisqu’ils
sont tous des salopards, des pédophiles, des crosseurs, des alcooliques, des
voleurs, des adultèreriens, des religieux, etc qui ont tous un mal de vivre et
qui nous sont tous antipathiques. Le miracle annoncé ne vient jamais et le film
joue sur un mauvais suspense à savoir qui a survécu à un crash d’avion (quand
on a un gros nez, on peut briser un suspense assez rapidement). La réalisation
de Podz est plus souvent que jamais une suite de plans de caméra qui ne veulent
rien dire, vide de leur sens. La caméra va et vient, zoom in et zoom out pour
raconter peu ou pas grand chose. Évidemment Miraculum n’est pas aussi pire que
je le laisse paraître, il s’écoute assez bien mais il veut tellement dire
quelque chose et croit tellement qu’il est profond que la finale fait rire et
rouler des yeux puisque si on y réfléchit 2 secondes ça en devient ridicule et
prétentieux. Comme si Sabourin n’était aucunement venu à bout de son idée et
que Podz avait vu quelque chose dans ce scénario qui l’avait touché mais qui
n’a pu mettre en image pour nous toucher aussi, nous, les spectateurs.
L’Ange-Gardien : Je ne suis pas un fan de Le Petit ciel,
premier long métrage de Jean-Sébastien Lord. Il faudrait peut-être que je le
revois mais je ne crois pas qu’une copie DVD ou VHS existe. Le film m’avait
semblé à l’époque quelque chose d’inaboutit et de légèrement peu divertissant.
Toujours est-il qu’un 2e film 14 ans plus tard pour Lord pique ma
curiosité. Mais voilà, en allant voir Miraculum au cinéma j’y ai vu la
bande-annonce de L’ange-gardien et par le fait même le punch du film puisqu’il
est dans la bande-annonce. C’est
une pratique douteuse d’inclure la conclusion dans une bande-annonce mais bon…
Sachant la finale d’avance, je me suis dit que ce n’était pas très grave
puisque l’important est de voir comment Lord racontera son histoire et de
quelle façon il ammènera cette finale surprise ainsi que ses explications. Les
acteurs sont tous très bons et Lord protège son histoire pour ne pas vendre la
mèche. Mais voilà que sa finale est un peu garoché au point où ça en est
presque risible. En apportant sa surprise finale comme si c’était justement une
surprise, il laisse beaucoup trop de questions en suspend et finit par clore
son histoire en surexpliquant avec des dialogues qui eux aussi rendent le tout
un peu ridicule. Sans vouloir entrer dans les détails, Lord débute sur une
bonne piste entre le personnage de Guy Nadon et son fils pour ensuite tout
laisser tomber ce qui aurait pu être une explication, facile certes, mais une
explication tout de même à propos de la relation entre Nadon et Marilyn Castonguay.
Plus le film avance et plus Lord cache les ficelles de son récit en faisant
faire aux protagonistes des stupidités qui vont à l’encontre de qui ils sont qui vont à l'encontre de la réalité policière(dans le cas de l'intervention policière).
De plus, Lord fait la gaffe de nous donner le POV de Castonguay alors que
1)c’est impossible et 2)c’est une très mauvaise façon de raconter une histoire en plus d'être malhonnête.
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