Evil Dead : Dans mes souvenirs, et
dans ceux de beaucoup de gens, Evil Dead 2 est un remake/reboot de Evil Dead.
Alors pourquoi un autre remake/reboot? Probablement parce que Sam Raimi n’a
jamais été en mesure de financer Evil Dead 4 et qu’avec le succès de ce
remake/reboot il le pourra. Ou peut-être qu'i trouve que le côté slapstick est devenu gênant. À en juger par le clin d’œil insultant et inutile à
la fin du générique, on peut être en mesure de voir bientôt sur nos écran Evil
Dead 4/remake part 2. Le film où Ash viendra chercher sa voiture même si elle
est avec lui dans le passé/futur (tout dépend de la finale d’Army of Darkness
que vous avez vu). Si on prend Evil Dead remake sans le comparer à la trilogie
originale, le film a un look d’enfer, beaucoup de sang et de gore mais peut
difficilement passer pour un bon film d’horreur car les problèmes du film n’ont
pas nécéssairement à voir avec une comparaison au film original mais avec un
scénario déficient, des acteurs sans charisme, des situations bidons et
plusieurs pistes scénaristiques jamais emprunté et laissé telles quelles. Donc
Evil Dead the remake en plus de ne pas être un bon remake (c’est débattable)
n’est pas un bon film d’horreur (ce n’est pas débattable). L'original a très mal vieilli mais au-delà de tout ses défauts et il y en as, le film demeure aujourd'hui un classique de par son inventivité visuel et la passion qui se fait sentir des artisans ayant travaillé très fort pour pondre cet oeuvre. Il est compréhensible alors que le but du remake est d'en faire une version moderne beaucoup plus tight et sérieuse question d'y éliminer l'humour non-volontaire. Le problème avec les remakes fait par des fans de l'original c'est que le réalisateur va toujours dire qu'il veut être le plus fidèle possible tout en voulant extrapoler sur certains aspects dont on se contre-crisse. Comme le fait de vouloir tout expliquer le surnaturel ou le background du croque-mitaine. (la mère de Michael Myers est une prostituée, Leatherface est tombé sur la tête quand il était un bébé, etc...). En voulant expliquer le surnaturel dans Evil Dead remake, on y annule tout ce qui rend le film terrifiant puisqu'on perd notre temps sur des passages surexplicatifs lu à voix haute dans un livre pour y donner un semblnt de cohérence alors que le film ne suit pas du tout les lignes qu'il s'est permi de tracer. Il en résulte un film beau visuellement mais complètement vide et non terrifiant. Un film surexplicatif qui ne semble pas comprendre sa propre logique et un film rempli de clin d'oeils pour les fans qui annulent tout le sérieux que le film veut se donner. Parfois on se demande, ce que les réalisateurs qui se disent fan de l'original ont bien pu comprendre de l'original tellement leur nouvelle version ne garde rien de ce qui faisait la force du modèle. L'épilogue et le prologue de ce film sont complètements inutiles et inintéressant d'autant plus qu'à quelques reprises ont utilise des flash frames de ce prologue pour bien nou sfaire comprendre ce qu'on avait déjà compris. Il n'y a rien de pire qu'un réalisateur qui prend son public pour des idiots. Evil Dead remake est divisé en 3 segments. Le premier est la mise en place d'un histoire de désintoxe remplie de clin d'oeils aux fans de l'original. On utilise donc un ehistoire plus élaborée que ce que faisait Raimi dans son film 30 ans plus tôt mais on ne fait rien avec cette histoire de désintoxe. Le film aurait pu être un métapore graphique sur le sevrage de la protagoniste et jouer avec les codes de l'horreur et du sevrage alors qu'on ne fait qu'implanter cette histoire pour donner un semblant de crédibilité au remake. On y installe des personnages complètements tarrés (la copine qui ne parle pas avant la 50ième minutes, l'infirmière qui n'a aucun charisme, l'ami ippie un peu bidon qui lit les paasages du livres des morts à voix haute alors qu'il est seul dans sa chambre) et on les fait mourir de sanglante et violente (la raison d'être du film et 2e segement) mais sans que cela affecte le spectateur. Le spersonnages ne réagissent aucunement de façon réaliste à ce qui leur arrive et désamorce ainsi la tension, et la terreur qu'on essaie d'y installer. Le film se termine dans un prologue inutile sous une pluie de sang (visuellement beau) en nous donnant un twist surprise un peu trop tard sur le survivant du récit. Trop tard puisqu'à la fin on change le héro à la dernière minute pour le remplacer par un personnage qu'on se contre-crisse depuis pus d'une heure puisque ce personnage est un peu enfermé dans le sous-sol de la maison depuis longtemps. Bref, je pourrais continuer comme ça longtemps à énuméré tout ce qui fait de ce remake un gros ratage mais au final, Evil Dead remake est tout de même très gore et techniquement efficace.
The Outfit : Je ne sais aucunement de quel costume on parle dans le titre mais s'il s'agit du manteau de cuir brun que porte Robert Duvall, et bien ce manteau vaut à lui seul le prix du DVD. The Outfit est un film d'action 70's où on n'avait pas besoin que le héro/anti-héro soit un tas de muscles à-la-Vin Diesel. La preuve c'est que Robert Duvall et Joe Don Baker font le travail comme des champions et ils ne sont pas les acteurs les plus musclés au monde. Ils n'ont qu'à porter un manteau de cuir brun et une rdingote comme Columbo et ils peuvent avoir l'air plus cool que Fonzi.
Black Aphrodite : Black Aphrodite c'est comme une tentative de film d'espions à-la James Bond mais fait par des grecs avec beaucoup de nudité. D'ailleur quand le film se termine, après que les méchants soient mort pis toute, il y a une scène de sexe. En fait, il y a environ 12 scènes de sexe dans le film et très peu de scène d'espion à moins, bien sûr, que les espions travaillent avec leur pénis et leur vagin.
Windy Heat City : Windy Heat City est
une comédie hilarante et incroyablement drôle. En fait le film est hilarant que
parce que l’acteur principal est un idiot et on rit à ses dépends. Windy Heat
City est le making of d’un faux-film d’action appellé Windy Heat City et dont
le comédien Perry Caravello est incrédule quant à la fausseté du film dans
lequel il croit être la vedette. Caravello est un être raciste, sexiste,
homophobe mais également arrogant et égocentrique (c’est à se demander tout ce
qui n’a pas été mis au montage tellement Caravello insulte autant les
afro-américains que les homosexuels)et c’est pour cela que le film fonctionne
et c’est pour cela qu’il a été choisit pour jouer dans le faux-film, car Bobcat
Goldwaith, le réalisateur et Jimmy Kimmel, le producteur, savaient qu’il ne se
rendrait jamais compte qu’il est le bouc émissaire. En fait, il est tellement
crédule et c’est là que le film perd de sa force, que Windy City Heat n’a pas
de conclusion. Le film se termine un peu en queue de poisson à cause de
Caravello. Quand on lui à annoncé qu’il s’agissait d’une blague, il ne l’a pas
compris donc, le réalisateur n’a pu terminer le film sur une réaction à la
Surprise Sur prise/Punk’d car Caravello est convancu que Windy City Heat est
bien réel. D'ailleurs il attend toujours des propositions pour la suite du film. (Ça lui a pris environ 4 ans en lisant sur internet avant de
comprendre que « certaines parties » ne sont pas vraies…)
Monster Brawl : Avec un budget
ridicule (200 000$ canadiens) Jesse T. Cook arrive à donner un look incroyable
à son film de monstres mais il n’arrive pas à nous faire oublier, justement, ce
budget ridicule. C’est que au-delà des maquillages de monstres, de la narration
de Lance Henricksen et de l’infographie amusante, Monster Brawl a vraiment
l’air d’un film tourné dans un seul décors et où les acteurs ont tourné leur
scène un à un sans jamais avoir été ensemble sur le plateau de tournage. Ce qui
donne comme effet que les commentateurs des combats (le film est un genre de
Mortal Kombat-meets-WWF où s’affronttent des monstres du genre Dracula contre
la momie) commentent un match de lutte où ils est évident qu’ils sont absent de
la scène. Un impression de dialogues lu mais de combat mal chorégraphiés qui ne
ressemblent en rien aux commentaires.
Les combats sont assez plates comme si on avait peur de déchirer les
costumes et les entraineurs (dont Jimmy Hart) qui lancent des insultes aux
lutteurs/monstres hors champs sont visiblement seul, comme si on avait tourné
leur scène une autre journée et dans un autre partie du décors. Ce qui devient
très très vite lassant, un combat après l’autre, sans grand revirement. Le film
aurait gagné à être un court métrage mais à 89 minutes, c’est beauoup trop
long.
Putty Hill : Putty Hill c’est une
tranche de vie de la classe pauvre de Baltimore. C’est un peu l’intensité de
Sling Blade et la beauté de George Washington (le fabuleux film de David Gordon
Green). C’est un peu comme un documentaire qui suit les jeunes de la banlieu
tout en essayant de ne pas les déranger dans leurs activités et laissé les
images fairent le travail, nous montrer la beauté malgré la laideur. Putty Hill
c’est lent, c’est calme, c’est beau, c’est triste, c’est la vie.
Alex Cross : Il y a quelqu’un quelque
part qui s’est dit : on va rajeunir la franchise Alex Cross du romancier
James Patterson. Morgan Freeman à fait un travail remarquable, rajeunissons le
personnage pour une nouvelle génération de cinéphiles qui n'iront pas voir Alex Cross parce qu'il n'y a pas de loup-garous ou de vampires. De toute la liste d’acteurs noirs
assez solides pour prendre le flambeau (Will Smith, Idris Elba, Chewitel
Ejiofor, Jamie Foxx, Don Cheadle, Isaiah Washington, Gregory Charles)ont à
décidé unanimement que le dramaturge/producteur/acteur/travestie Tyler Perry
ferait le travail. J’imagine que
le bouddhiste/zen master/chrétien/passifiste/producteur/réalisateur Rob Cohen a
trouvé le choix de Perry audacieux et judicieux. Même si Cohen n’a pu
transformer Perry en karatéka comme, j’imagine, il l’aurait voulu, Cohen n’a
pas non plus réussi à transformer Perry en acteur sérieux crédible. J’aime bien
rire de Perry mais en vérité, je n’ai rien contre lui, il est seulement un peu
trop maniéré lorsqu’il essaie de jouer un rôle sérieux. Comme s’il croyait que tout les clichés du
monde faisait de son personnage, quelqu’un d’authentique alors qu’il a l’air
d’une caricature d’un être humain. De toute façon Perry et sa bedaine ne sont
pas les pires éléments de ce thriller policier complètement raté. On a
l’impression que les 2 scénaristes ont adapté le roman de Patterson en
incluants seulement les scènes qu’ils jugeaient amusantes et/ou pas pire, peu
importe si ces scènes ont un lien entre elles ou qu’elles constituent un tout
cohérent. On a donc droit à des sous-intrigues qui ne vont nul part, des
personnages secondaires qui meurent sans trop que l’on comprenne comment,
pourquoi, où mais surtout quand? Pourquoi nous présenter des personnages
secondaires pas super intéressants puis les faire mourir sans que cela ne change
rien 1)à l’histoire 2)aux personnages du films 3)aux spectateurs. Le film est
un amalgame de ce genre de mauvaise écriture scénaristique. Tout ce qui est
déficient dans le récit est déblatéré de façon artificielle dans les dialogues
sur un ton informatif et détaché, comme un apparthé de plusieurs phrases. Les
personnages vont d’un lieu à l’autre sans que l’on comprenne trop pourquoi.
Tout ça sous fond de vengeance personnel entre les bons et les méchants et dont
le spectateur n’en à rien à chier.
Premium Rush : David Koepp est un
scénariste de gros projets hollywoodiens (Panic Room, Spider Man, War Of The
Worlds, Mission : Impossible) il a également scénarisé quelques petits films
intéressants (Bad Influence, Appartment Zero) ainsi que quelques flops (Snake
Eyes, The Paper, The Shadow)Dans ses temps libres, il lui arrive de réaliser
des films (Stir of Echoes, Secret Window, Ghost Town). En attendant Snow White
and The Huntman 2 et Jack Ryan, Koepp s’est payé un petit film
sympathique : Premium Rush. Sympathique si on laisse son cerveau au
vestiaire. Le personnage principal est un peu idiot se croyant plus cool qu’il
ne l’est et le méchant de service, joué par Michael Shannon est un peu trop
méchant pour rien. Shannon est rarement non-caricatural losrqu’il joue au
cinéma. N’étant aucunement un beau gosse il est facile pour les agents de
casting de l’utiliser comme un psychopathe désaxé surtout depuis Bug. Il joue
donc en mode psychopathe antipathique, mais le film n’en demande pas tant tout
comme sa scène de mort qui est joué de façon beaucoup trop grosse, pour faire
rire, certes, mais cette scène
choque tant elle semble inutilement glauque, morbide et violente alors que le
film est avant tout un divertissement léger. Premium Rush est tout de même un
film au rythme très rapide et aux scènes d’actions sans répit. La finale est
tout de même extrêmement décevante et empêche Premium Rush d’être un
divertissement au dessus de la moyenne. C’est comme un BMX Bandits pour le 21e
siècle mais pas vraiment et sans Nicole Kidman.
Steak : Steak est le 2e
film de Quentin Dupieux et probablement son plus accessible. Bien que je ne
trouve pas particulièrement drôle Eric et Ramsy, la mise en images impeccable
et le scénario de Steak m’ont fait oublié les deux humoristes français. Steak
est selon mois extrêmement original et drôle dans un style pince-sans-rire.
Tourné dans la province de Québec, cette comédie utilise bien le décors et la
direction photo utilise bien les couleurs de façon vives. En attendant la
sortie de Wrong, Steak et Rubber sont les seuls films de Dupieux que l’on peut
se mettre sous la dent et quel duo de films!
Sound City : Bon, je vais commencer
par admettre que je déteste intensément Dave Grohl et tout ce qu’il fait
(post-Nirvana). Je ne crois pas qu’il soit sans talent mais je ne crois
aucunement qu’il soit le génie musical qu’on essaie de me faire croire. Il peut
rire autant qu’il veut de Nickelback mais Foo Fighters, c’est du Nickelback : du
rock générique d’aréna sans grande originalité. La seule raison pour laquelle
les gens acceptent Foo Fighters, c’est parce que Grohl à été batteur pour
Nirvana. Ceci étant dit, il est normal que mon écoute de Sound City, première
réalisation de Grohl, soit remplie de hargne de ma part. 1)parce que la musique tout comme le
cinéma est l’art du peuple. Nos goûts personnels nous rendent spécial alors que
ce sont toujours les autres qui suivent la mode pour paraphraser Carl Wilson 2)ce qui fait que du
name-dropping sur un sujet qu’on aime (qui n’aime pas la musique?)nous fait
tendre l’oreille à ce qui se dit à l’écran puisque ce name-dropping nous donne
un semblant de connaissances, donc d’intélligence et 3)cette intélligence qui
semble nous envahir nous fait apprécier ce qui se passe à l’écran en nous
faisant oublier le plus important : Sound City est un mauvais documentaire
parce qu’il 1)n’a aucun fil conducteur 2)part dans tout les sens 3)prouve plus
ou moins ce que Grohl nous sert comme discours (la musique analogue c’est cool,
pro tools c’est de la marde! j’imagine très bien Will.I.Am avoir le discours
contraire) et 4)le film fini par être un film sur Grohl et ses goûts à lui. Le côté
historique de Sound City est le plus intéressant, quand on nous raconte les
albums qui ont été enregistré dans le studio mais on aurait aussi pu en faire
un spécial à VH1 ou à MusiMax. L’historique même du studio est un peu en survol
et tout les participants nous disent que Sound City c’est magique! Le
documentaire est donc biaisé puisque personne n’a rien de négatif à dire sur le
studio. Tout le monde est beau, tout le monde est gentil! Stevie Nicks ou Frank
Black ou Trent Reznor ont probablement tous enregistré des albums ailleurs, ils
ont donc surement des bons mots à dire sur les différents studios qu’ils ont
utilisé. Si Tom Petty n’avait utilisé que ce studio pour tout ses albums, je
pourrais comprendre qu’il y a quelque chose de spécial mais ce n’est pas le
cas. Sound City n’est donc pas si spécial, il devient seulement une suite de
qualificatifs et d’anecdotes savoureuses racontés par des gens qui y ont vécus
des anecdotes savoureuses. Jamais personne ne dit que Sound City est le
meilleur studio au monde, ils ne font que raconter ce qui selon eux, fait de
Sound City un studio différent des autres tout comme les autres studios doivent aussi être différent de Sound City. Bref, Grohl finit par tourner la caméra sur
lui-même dans la 2e moitié du film en nous disant que la bonne
musique se fait de façon analogue puisqu’on peut sentir le FEELING tandis que
Pro Tools n’a pas de soul dans sa musique. Une
question débatable bien sûr. Je suis d’accord avec certains aspects que Grohl
apporte mais c’est dans sa façon de faire que je ne suis pas d’accord. La 2e
moitié du film n’est que vaniteuseries où Grohl qui achète la console NEVE du
studio Sound City (il faut le voir tripper comme un enfant lorsqu’on lui donne
la facture originale de l’achat de la console alors que n’importe quel
spectateur s’en câlisse) avant que le studio ne ferme ses portes pour la mettre
dans son propre studio où il peut ainsi jouer avec ses chums des tounes pour nous
faire sentir le FEELING. Grohl invite donc McCartney et Clapton et les autres
qui sont encore vivant pour jammer et faire un disque. Sound City se transforme
alors en publicité pour cet album sortie au Record Store Day le mois dernier. Grohl s’associe
donc à la journée la plus mercantile de la musique pour nous vendre un
album remplie de FEELING. Quel hypocrite!
Rabies : Il s’agit, à ce qu’il paraît,
du premier film d’horreur israelien. Basé sur cet information, Rabies est bien.
Mais… On ne peut apprécier un film sous prétexte qu’il est le premier de son
genre. L’idée est bonne mais complètement mal réalisé, écrite et joué. Que les
acteurs soient mauvais, ce n’est pas tant dramatique mais quand on les mêle à
des dialogues humoristiques complètement hors contexte et dénué d’humour, on
trouve le temps long. On comprend les intentions mais l’exécution est
déficiente. Comme par exemple la scène où le protagoniste maculé de sang se
fait demander par des touristes perdus le chemin pour le village le plus près.
L’humour vient du fait que le type est maculé de sang et que cela ne dérange
aucunement les touristes, un couple, qui ne font que s’engueuler parce que le mari
est trop orgeuilleux pour admettre qu’ils sont perdu. La scène s’étire
inutilement où le mari et sa femme s’engueulent pour des niaiseries. Le film
est peu une extention de cette scène où les dialogues pseudo-comiques étirent
inutilement chaques scènes. On a voulu utiliser les clichés du film de slasher et du films d'ados pour les détruire et en faire quelque chose d’original alors qu’on ne réussit
aucunement. La mise en scène très bâclé n’aide en rien. Rabies est un genre de
Dale & Tucker VS Evil mais raté. L’affiche du film est belle par contre.
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