Grâce à la magie de surfthechannel.com, j'ai pu voir dans les deux derniers mois de très grands films.
J'y ai eu droit à The Condemned, film produit par la WWE et joué par des lutteurs, une histoire de télé-réalité qui sera bientôt repris dans le remake de Death Race 2000 du grand Paul W.S. Andersson, sorte de croisement entre The Most Dangerous Game et autre Hard Target mais avec comme toile de fond, un émission de télé et un constats social sur la facination des gens avec la violence, etc...Un brin meilleur que The Marine produit par les mêmes gens sympathiques, mais assez plate et ennuyant malgré un rythme rapide et des acteurs offrant des prestations au-dessus de la moyenne.
Dans la même catégorie, disons films de bien mauvais goût, Hero Wanted mettant en vedette mon acteur préféré, Cuba Gooding, Jr. n'est rien d'autre qu'un drame policier dont j'ai tout oublié....Harold and Kumar escape from Guatanamo Bay est une autre comedie pour jeunes drogués qui sans être la plus subtile et la moins stupide, fait tout de même rire quelque fois. Sublime, film vendu comme un film d'horreur mais n'est qu'en fin de compte qu'un drame médical un peu épeurant n'ayant ni gore, ni suspense que des acteurs qui surjouent. Starship Troopers 3, deuxième suite à l'excellent film de Paul Verhoeven est une coche au=dessu du second film de la série mais c'est tout. Film de série B n'ayant qu'un seul décors pour les 30 première minutes et cherchant à tout prix que ça ne paraisse pas trop, Straship Troopers 3 est avant tout un film de recrutement pour l'Église, nous disant que si on prit fort, fort, Dieu va nous accorder ce que l'on désire vraiment.
Dans la catégorie "Drame soporifique", The Painted Veil , est beau, bien joué mais extrêmement prévisible et classique tant dans sa réalisation que dans son récit. Joshua, film qui se cherche , hésitant entre drame familial ou film d'horreur à la Good Son où les acteurs font se qu'ils peuvent avec le peu qu'on leur donne. The Straightheads sorte de rape-revenge mettant en vedette Gillian Andersson n'est pas très intéressant à cause d'une facture visuelle qui va à l'encontre de son sujet. Grace is Gone sorte de Kramer vs Kramer des temps moderne où dans un élan d'originalité, la femme d'un père de deux enfants joué par John Cusack, meure en Iraq et celui-ci doit annoncer la nouvelle aux enfants et vivre avec le deuil. Sujet actuel s'il en est un mais cette fois au lieu de faire mourir le père c'est la mère qui meure en héro au combat. Cusack est bon comme toujours, pour faire passer des dialogues un peu cucul et pour montrer les sentiments enfouis d'un homme meurtri mais il n'est pas crédible en espèce de nerd.
Dans la catégorie "Fais moi rire", The Heartbreak Kid, remake d'un film du même nompar les frères Farelly est assez navrant et pas particulièrement drôle. Il va falloir qu'on m'explique l'admiration des gens pour Michelle Monaghan qui selon moi gâche plus souvent un film qu'elle ne le rend mémorable.Hairspray, version John Waters est un film assez sympathique, la version 2007 du film met en vedette John Travolta dans un déguisement de femme obèse plutôt ridicule. C'est en voyant la version de Waters que j'ai compris pourquoi. Dans le film de Waters l'actrice jouant la mère est nul autre que Divine, acteur fétiche, ami de Waters et travestie par excellence. Donc pour faire un clin d'oeil au film de Waters, Adam Shankman a décidé de rendre hommage à Divine plutôt que d'utiliser Kathy Bates. C'est une erreur de la part de Shankman puisque Divine se voulait une femme et en voyant le film de Waters on ne croirait jamai sle contraire alors que Travolta en femme est juste complètement absurde en plus d'être immoral pour les enfants.
Finalement dans la catégorie "Heureuses surprises" He Was A Quiet Man mettant en vedette un Christian Slater chauve et une Elisha Cuthbert paraplégique. Même si le film est un peu prétentieu et que les effets spéciaux sont risibles, il n'en demeure pas moins qu'il est très intéressant. Talk To Me
est un agréable film où Don Cheadle et Chiwetel Ejiofor se donnent la réplique avec aplomb. Surviving My Mother est une comédie familialle meilleure que ce qu'elle n'a l'air. Je ne comprends pas pourquoi utiliser autant d'acteurs francophones pour les faire parler en anglais. Il me semble qu'il y a assez d'acteurs anglophones au Québec. Green Street Hooligans sorte de Romper Stomper mais en mieux. Un film violent où l'on peut voir jusqu'où les fans de soccer européens sont prêt à aller pour faire chier les fans de l'équipe adverse.
Pour finir, Halloween, la version de Rob Zombie. Un autre remake inutile à mettre dans la pile avec les autres, Amytiville Horror, The Hitcher, etc... Zombie fait dans la première partie du film, ce qu'on se contrefout, il essaie de donner une humanité à Michael Myers, une raison pour justifier ses actions. C'est un peu la façon PC de faire des films d'horreur maintenant, La même chose à été fait avec Texas Chainsaw Massacre. Pourquoi créer des raisons et justifier le comportement d'un tueur? pour que le spectateur s'identifie à lui? pour enlever tout monstrusotié au personnage? Ce qui crée le suspense et la terreur dans ce genre de film c'est justement le fait que le meurtrier est fou et sans âme et qu'il peut s'urgir à tout moment et tuer de n'importe quel façon. Que sa mère fut une prostituée, qu'il se soit fait taxé son argent de poche à l'école n'est q'une façon stupide de nous développer la psyché d'un meurtrier. Il tue car des ados le ridiculisaient à l'école, Join the fucking club, buddy!
La deuxième partie du film est un remake du fim, c'est bien fait, plus rythmé que l'original mais justement cette lenteur faisait de l'original un crescendo de suspense. Zombie n'a pas la subtilité de Carpenter.
Thursday, July 31, 2008
Wednesday, July 23, 2008
Hancock
Hancock est le nouveau film mettant en vedette Will Smith et c'est probablement le pire film de l'année. Un inième film de super-héro sortant sur nos écrans déjà saturé par le genre depuis le mois de mai. Hancock a l'avantage de ne pas être basé sur un comic book mais sur une idée originale bien mince qui débute pourtant bien pour ensuite prendre un détour inutile et malhabile à la suite d'un élément surprise du scénario fort prévible et télégraphié par le réalisateur Peter Berg qui semble n'avoir aucune idée de se qu'il fait derrière la caméra.
Berg, ancien acteur jouant souvant le Ethan Hawke des pauvres, un sous-Matt Dillon ou un simili-Bill Paxton, s'est tourné vers la réalisation avec Very Bad Thing, une comédie noire complètement détestable et surtout aucunement drôle. Il a ensuite réalisé The Rundown, comédie d'action sympathique mettant en vedette The Rock, pour ensuite surprendre tout le monde avec le film sportif Friday Night Light, film sur le football universitaire extrêmement intéressant et fort bien réalisé comme un faux documentaire qui a été le sujet d'une série télévisée par la suite. Berg a ensuite réalisé le film d'action pseudo-politico machin The Kingdom, scénarisé par Matthew Carnahan, le frère de Joe Carnahan pour qui Berg avait tenu un rôle dans son film Smokin' Aces aussi scénarisé par Matthew.
Cela étant dit, On peut voir la feuille de route de Berg qui est écclectique laissant plus souvent qu'autrement le sentiment que Berg ne sait pas ce qu'il fait ou bien qu'il sait ce qu'il fait mais il le fait n'importe comment. Oui, le style faux documentaire sciait à merveille à Friday Night Lights mais il n'était pas approprié pour The Kingdom, d'autant plus que l'utilisation d'acteurs connu comme Jamie Foxx, Jennifer Garner, Chris Cooper et Jason Bateman enlevait toute logique au côté documentaire du film et en devenait sa plus grande faiblesse.
Avec Hancock, Berg utilise le même procédé dans certaines scènes et rend par le fait mêmes ce procédé tout à fait inutile laissant croire que Berg ne comprend pas se qu'il fait. Et c'est peut-être vrai puisque le film fini par s'essouffler après 30 minutes et prendre un détour vers les origines, inutiles, de son protagoniste pour ainsi perdre toute logique et s'éloigner du synopsis de départ.
Si Berg s'avait ce qu'il fait il aurait 1)jamais tourné ce film, 2)lu le scénario et 3)mieux dépenser les 150 millions de dollars du budget qui, on se demande, ou ont bien pu passer ces dollars. Surement pas dans les effets spéciaux de très mauvaises qualités.
Il est difficile à croire qu'avec l'argent à sa disposition, il ait pu nous donner des effets visuels aussi mal chié mais en même temps si on se remémore les scènes de l'usine dans The Rundown, on se souviendra que les effets visuels étaient tout aussi mauvais. À croire que Berg s'en fout un peu ou qu'il devrait porter des lunettes avant d'approuver quoi que ce soit qui dépasse ses compétences. Il faut tout de même avouer qu'il faut avoir du coulot pour réaliser un blockbuster et donner moins que le strict minimum aux spectateurs qui ne désirent pas moins que voir des explosions ou des déraillements de trains qui ont un semblant de vérité visuelle.
Pour revenir au tournant que le film prend en plein milieu de parcours, il est sans contredit inutile, prévisible et complètement incohérent. Berg télégraphie un pseudo pivot scénaristique grace entre autre à un montage (trop)appuyé et mal foutu au niveau du récit. Le film prend ainsi une tournure explicative dont on se contre-crisse relatant les origines de notre héro et prenant tout le reste du film délaissant ainsi les scènes d'action pour ensuite y revenir pour une finale bâclé et anti-climax-esque. Une finale violente avec un semblant de profondeur ou les protagonistes agissent n'importe comment et réagissent bizarrement aux tournures que prend le drame.
Berg y ajoute ou dumoins croit y ajouter des touches humoristiques. Si on a vu Very Bad Things, on sait immédiatement que Berg n'a aucun sens de l'humour et que ce qu'il considère comme étant de l'humour noir est tout simplement des gens qui se tapent sur la gueule violemment, filmé crûement et hermétiquement et laissant très peu de place aux rires voire même à un sourire en coin.
Le scénario d'environ 2 napkins et demi est d'un illogisme abhérant. Théron passe environ 10 minutes à surexpliquer une partie de l'histoire qu'on avait compris puisque Berg filme et monte son film sans aucune surprise allant même jusqu'à faire comprendre le CV de chaque personnages laissant ainsi peu de place à la surprise, donc suite aux surexplications, le film se met à nous montrer tout le contraire de ce qui à été surdit de façon maladroite, scénaristiquement parlant.
Ces explications artificielles fort mal intégrées au film font sombrer Hancock dans une nullité cinématographique abjecte.
Tuesday, July 22, 2008
The Dark Knight
The Dark Knight, nouveau film de Christopher Nolan, suite de son Batman Begins et inième version du justicier masqué pour le grand écran est devenu un phénomène culturel en peu de temps. Le film de Nolan est devenu le spectacle à voir, l'oeuvre d'art par excellence, le meilleur film du 21e siècle, Nolan est devenu le nouveau Kubrick. Tout ça parce que la mort de Heath Ledger a donné au film un aura de mystère en plus d'un énorme coup de publicité.
Le film est un des mieux coté sur les sites internet de la planète, The Godfather a trouvé un nouveau rival. Les geeks de la planètes entières combattent les mauvaises critiques en insultants les critiques allant jusqu'à les traiter de laids et chauves, photos à l'appui. Le film est intouchable, les fanboys vont même jusqu'à trouver un complot à propos des critiques newyorkaise qui jusqu'à maintenant sont les seuls à ne pas aimer les film de Nolan préférant Spiderman.
Je n'ai pas particulièrement aimé The Dark Knight tout comme je n'avais pas particulièrement aimé Batman Begins même si les deux films possèdent énormément, ÉNORMÉMENT de qualité, de suspense et de scènes remarquablement remarquables. Un des problème est que Nolan ne sait pas filmer des scènes d'actions. les scènes de combat sont filmé trop près, les poursuites en voiture sont incompréhensibles en plus de ne pas être très excitante. De plus les éllipses sont incroyablement maladroites laissant croire que Gotham City est un village de 18 pieds carrés.
Il y a peu de bonnes raisons de détester The Dark Knight, sauf pour dire le contraire de toutes les critiques dithyrambiques et faire le rabas-joie. Le film est loin d'être détestable, il est seulement loin d'être le meilleur film de tout les temps. Les 45 premières minutes sont longues et assez pénibles au niveau du jeu des acteurs et des dialogues un peu trop explicatifs et télégraphiés. Comme Nolan a décidé de donner un look très réaliste à son Batman au lieu d'un côté bédéesque, il y a quelque chose d'étrange lorsqu'on voit Batman en costume, en plein milieu de Chicago, il semble tout à fait ridicule et hors de son élément.
Comme je disais plus haut, je n'ai pas détesté mais je n'ai pas aimé non plus, The Dark Knight est probablement le film le plus overhypé des 5 dernières années.
Tout a été dit sur la performandce de Ledger dans la peau du Joker, alors je ne dirais que ceci, il est encore meilleur que ce que les critiques ont dit jusqu'à maintenant. Ledger, personifie un Joker d'une rare intensité, il va même jusqu'à y jouer un double rôle, Ledger ne joue pas le Joker, il vit le Joker, il joue Giovanni Ribisi jouant le Joker, ce qui est extraordianire.
Tuesday, July 15, 2008
Hellboy II
Helboy II a le malheur d'être le premier film de Guillermo del Toro depuis son triomphe avec Pan's Labyrinth. Maintenant tout le monde va comparer ses prochains films à ce dernier comme si del Toro n'avait jamais rien réalisé avant, comme s'il n'avait pas déjà une filmographie, comme s'il n'avait jamais été pris au sérieux avant. Mis à part les créatures, Hellboy est un film très différent de Pan's Labyrinth. Comme si on comparait Saving Private Ryan à Schindler's List pourtant deux films fait par le même réalisateur. Spielberg a le talent de pouvoir faire des films différents qui se complètent eux-mêmes, chaque film a son propre univers et pourtant on peut y reconnaitre le style de Spielberg. C'est pourquoi E.T. ne ressemble pas à Empire Of The Sun que Jaws ne ressemble pas à The Color Purple. C'est la même chose pour del Toro. Il a le talent de nous amener, nous transporter dans un univers différent à chaque film, mais chaque film se suffit à lui-même sans qu'on ai besoin de les comparer. Ou si on les compare, il faut le faire avec le reste de l'oeuvre de del Toro et non seulement avec le film qui l'a rendu célèbre.
Hellboy II est avant tout la suite de Hellboy et non celle de Pan's Labyrinth. C'est également l'adaptation de la bande dessiné de Mike Mignola qui signe aussi l'histoire du film comme pour le premier. del Toro adore la bande dessiné et cela se sent a travers ses personnages, a travers l'humour qu'il injecte dans le film (autant le premier volet que le deuxième), à travers chaque détails qui fait de son film non seulement une histoire d'amour pour la BD de Mignola mais pour l'amour du cinéma. Car del Toro est un visionnaire et il peut créer un univers magique, fantastique, il est également un amoureux du cinéma et son langage cinématographique se raffermie de film en film. Les plans séquences sont de plus en plus nombreux, il utilise également la profondeur de champs plus souvent qu'avant et dans ce cas-ci, pour un effet comique. Ses personnages sont toujours bien développés et les scènes dramatiques ne sont jamais cul-cul et plus souvent qu'autrement, touchantes. Tout ça depuis Cronos, son premier film, période plus gothique mais toujours aussi noir, période qui comprend également Mimic
et Devil's Backbone. del Toro tout en gardant un côté gothique, s'est tourné vers le fanatstique avec Hellboy, Hellboy II et Pan's Labyrinth. Seul Blade II demeure un entre deux, un OVNI dans sa filmographie, une film d'horreur/action réalisé comme un manga japonais, un film qui également basé assez librement sur une BD. Blade II, tout en étant l'OVNI est le tournant dans sa filmographie, un film sous-estimé, incroyablement bien réalisaé mais ayant le désavantage d'être la suite de Blade mais ayant l'avantage de donner à del Toro un plus gros budget, comme un gros show pour montrer son talent et donner un nouveau virage à sa filmographie qui lui on ouvert les portes de Bilbo le Hobbit.
Pour en revenir à Hellboy II sans être le plus important film de sa filmographie, il demeure tout de même un bon divertissement aux visuels remarquable, un bon compagnon au premier film ainsi qu'un bon film de super-héro et ce malgré certains petits défauts de mise en scène. Même si le film tourne un peu les coins ronds au début, il reprend sa vitesse de croisière par la suite pour nous donner une finale grandiose.
Thursday, July 3, 2008
Wanted
Wanted est le premier film hollywoodien de Timur Bekmambetov. Le réalisateur russe à qui l'on doit NightWatch et Daywatch, deux énormes succès au pays de la vodka a tout pour réussir dans le pays de l'Oncle Sam. Il peut donner à ses films un look ultra léché comme peu peuve se vanter de faire à Hollywood à part bien sur Michael Bay. Bekmambetov donne un look, un genre une importance Bay-esque à ses films avec avec pratiquement 25 fois moins de budget que l'ami Michael. Daywatch a un budget de 4, 2 millions de dollars pour un film d'action assez inventif, un peu n'importe quoi d'une durée de 146 minutes contre Bad Boys 2 par exemple, d'une durée de 147 minutes qui a coûté à ses producteurs 130 millions de dollars.
Donc Bekmambetov peut faire un film aux scènes d'action inventives pour moins cher que Hollywood, il est donc normal qu'on l'ai approché en lui donnant 50 millions de dollars pour tourner son premier blockbuster américain mettant ainsi un hiatus sur sa trilogie des Nightwatch.
Wanted est l'adaptation d'un comic book violent de Mark Millar et J.G. jones. Le film est un semblant de croisement entre The Matrix et Fight Club. Le protagoniste est un col blanc joué de façon sympathique mais un peu niais par James McCavoy. Une voix hors champs initule nous explique tout ce qu'on voit et tout ce qu'on avait déjà compris. Le côté un peu comico-bédéesque agace au début mais comme il disparait après 20 minutes...Les clichés se suivent mais on garde tout de même un sourire en coin jusqu'à ce qu'on s'aperçoive que tout ça est vraiment malsain et que le protagoniste désire sortir de sa vie de merde en devenant un tueur et tuer l'assassin d'un père qu'il n'a jamais connu. Le héro est donc un personnage ultra égoïste et égocentrique qui devient un assassin hors pair après son entrainement intensif de 5 semaines....
Le tout est bien mené et a un rythme rapide. Les scènes d'actions sont jouissives et c'est ce qui nous permet d'être tenu en halaine puisqu'elles nous emportent dans un autre monde, quelque chose de quasi science-fictionesque. La fusillade final est excitante et Michael Davis aurait eu besoin d'être autant inspiré lorsqu'il nous a pondu son brûle-rétines, Shoot 'em up. Par contre tout, le reste l'histoire et les acteurs sont une suite de clichés énervant et un peu mal orchestré. Morgan Freeman est d'un ridicule navrant lorsqu'en voulant choquer l'auditoire avec son "Motherfucker" risible il ne fait que perdre sa crédibilité, déjà qu'après Lucky Number Slevin et The Big Bounce il ne lui en reste que peu. Angelina Jolie est complètement sexy et mystérieuse, elle rampe dans ce film tel une chatte et elle dégage un odeur de sexe de tout les pores de sa peau.
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